Pas de Hold-up sur nos libertés au nom de la santé!
Entretien de la quarantaine de Pierre Le Vigan pour le Cercle Aristote. Il répond aux questions de Maxime Le Nagard.
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Entretien de la quarantaine de Pierre Le Vigan pour le Cercle Aristote. Il répond aux questions de Maxime Le Nagard.
On l’a tous vu, le coronavirus a mis sur le devant de la scène le langage des signes. Pas une intervention du président de la République sans son interprète. Que cache cette soudaine visibilité de la surdité ?
Au vu de la médiocrité de Macron et du gouvernement, l’heure est venue d’adresser solennellement une supplique anachronique à nos décideurs dilettantes, deux même.
Nous sommes, en ce moment de confinement, privés de mobilité. Mais si la mobilité est une liberté, elle n’est pas toute la liberté. Il y a une liberté supérieure, qui implique de pouvoir être mobile, mais de pouvoir choisir aussi d’être immobile. Cette liberté supérieure, c’est l’autonomie. Et au-delà de la liberté de circuler, dont nous ne pouvons être durablement privés, la grande question qui se pose est celle de reconquérir une liberté comme autonomie, perdue depuis la révolution industrielle et les sociétés de masse.
C’est la première fois que Michel Houellebecq s’exprime depuis le début de la pandémie. Dans cette lettre, il récuse l’idée de l’avènement d’un monde nouveau après la crise du coronavirus. Son texte et la lecture proposée par Augustin Trapenard de France Inter, sont reproduits dans leur version intégrale.
Serions-nous devenus des Babtous fragiles que des armées de psys, de clowns et d’assistantes sociales protègent, divertissent et maternent du matin au soir ? Faut croire. Notre hypersensibilité à la souffrance nous fait accepter bien des défaites.
Membre de la rédaction d’ Éléments depuis plus de vingt ans, le docteur François Delussis est neurologue dans un hôpital de la région Rhône-Alpes. En direct des urgences, il nous livre son carnet de bord quotidien. Jour 24 : Ce soir, je quitte les urgences pour laisser la place à des urgentistes de métier. Tout semble redevenir sinon normal du moins habituel.
Membre de la rédaction d’« Éléments » depuis plus de vingt ans, le docteur François Delussis est neurologue dans un hôpital de la région Rhône-Alpes. En direct des urgences, il nous livre son carnet de bord quotidien. Jour 23 : Comment annoncer la mort d’un être cher.
Membre de la rédaction d’Éléments depuis plus de vingt ans, le docteur François Delussis est neurologue dans un hôpital de la région Rhône-Alpes. En direct des urgences, il nous livre son carnet de bord quotidien. Jour 22 : la bobologie fait son retour aux urgences.
Le confinement a mis en lumière les métiers indispensables, souvent des « jobs de merde » qui apportent beaucoup, mais ne rapportent rien. Tout le contraire des « jobs à la con » qui eux n’apportent rien, mais rapportent beaucoup. Petite explication lexicale.
Membre de la rédaction d’Élémentsdepuis plus de vingt ans, le docteur François Delussis est neurologue dans un hôpital de la région Rhône-Alpes. En direct des urgences, il nous livre son carnet de bord quotidien. Jour 21: Des patients désorientés par des autorités médicales télévisuelles proférant tout et son contraire.
Membre de la rédaction d’« Éléments » depuis plus de vingt ans, le docteur François Delussis est neurologue dans un hôpital de la région Rhône-Alpes. En direct des urgences, il nous livre son carnet de bord quotidien. Jour 19 : ce matin, la police est intervenue aux urgences pour disperser des gitans venus en nombre. L’infectiologue de l’hôpital est sorti sous escorte pour leur parler.
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