Hommage à Jiří Menzel
Tchéquie – Jiří Menzel, né en 1938, cinéaste mais aussi acteur et metteur en scène de théâtre, est décédé le 7 Septembre 2020 à Prague, sa ville natale.
Tchéquie – Jiří Menzel, né en 1938, cinéaste mais aussi acteur et metteur en scène de théâtre, est décédé le 7 Septembre 2020 à Prague, sa ville natale.
Documentaire du réalisateur Tancrède Ramone, « Ni Dieu Ni Maître » revient sur tous les grands événements de l’histoire sociale des deux derniers siècles et dévoile l’origine et le destin de ce courant politique qui combat depuis plus de 150 ans tous les maîtres et les dieux.
On considère généralement ce film comme une œuvre mineure du fait qu’il a été vu, à sa sortie, comme une sorte de décalque de L’Exorciste de William Friedkin, tenant d’attirer le même succès à partir de la même recette.
Toujours à l’heure dès qu’il s’agit de restreindre la liberté d’expression, la justice française a annoncé l’ouverture lundi 31 août d’une enquête préliminaire pour «injures à caractère raciste» à l’encontre de «Valeurs actuelles». Éditeur et homme de presse, co-fondateur d’«Éléments», Alain Lefebvre refuse de ployer le genou face au buzz.
Assis à l’une des « terrasses éphémères » qui avaient fleuri boulevard Saint-Germain, Quentin était littéralement abasourdi… Après plusieurs minutes de réflexion, il peinait encore à croire à la réalité de ce qu’il avait vu, il n’en revenait toujours pas… En effet, avec un parfait naturel, le serveur du bar en charge de sa table était venu prendre sa commande en portant ostensiblement son masque médical au-dessous du nez… Était-ce de l’inconscience, de la provocation, une façon de marquer un soutien, au moins partiel, aux thèses criminelles de l’extrême droite complotiste ? Quoiqu’il en soit, Quentin était outré, quasiment hors de lui.
Ludovic Maubreuil a répondu aux questions de nos confrères de « L’Inactuelle »: « Le cinéma contemporain a-t-il encore quelque chose à dire sur le monde ? A-t-il encore un potentiel critique, et parvient-il à renouveler ses formes ? Au vu de la médiocrité qui s’étale à longueur d’années sur les écrans, rien n’est moins sûr. Ludovic Maubreuil analyse pour nous les raisons du marasme cinématographique actuel. »
Il n’y a pas que la presse, la radio ou la télévision qui soient victimes de la dominante libérale libertaire, le cinéma aussi, côté réalisation ou côté distribution. En 2019 le réalisateur vendéen Eric Dick termine son film sur l’immigration, inspiré du livre culte de Jean Raspail, Le Camp des Saints. Ce film n’est jamais sorti en salles, le réalisateur a choisi de le diffuser gratuitement sous forme digitale (vous trouverez deux liens en bas de l’article). Nous l’avons interrogé sur l’histoire de son film où les cloches peuvent enfin résonner mais seulement sur internet.
« Qui n’a, comme Céline, un jour été tenté de “fabriquer l’opéra du déluge” ? Revisitant une partie de nos archives oubliées, cette série de vidéos questionne l’art de voir, de lire et d’écouter ; réorganisant du même coup l’alliance des textes et des sons, des images et de leurs significations… Entre soliloques d’ombres et échos d’outre-tombe, des portes s’ouvrent, l’inactuel s’actualise, et l’on re-découvre la joie de tout risquer sur un alexandrin… »
Avec son troisième livre « Une fin du monde sans importance », Xavier Eman signe une satire mordante contre l’idéologie progressiste qui n’est pas sans rappeler Philippe Muray. Comme son père spirituel, il s’inspire des aberrations engendrées par l’époque actuelle pour tourner en dérision, avec une causticité redoutable, les dérives et les contradictions des dogmes contemporains : de l’écologisme punitif à l’ostracisme pratiqué par les minorités sexuelles en passant par le matriarcat.
« Qui n’a, comme Céline, un jour été tenté de “fabriquer l’opéra du déluge” ? Revisitant une partie de nos archives oubliées, cette série de vidéos questionne l’art de voir, de lire et d’écouter ; réorganisant du même coup l’alliance des textes et des sons, des images et de leurs significations… Entre soliloques d’ombres et échos d’outre-tombe, des portes s’ouvrent, l’inactuel s’actualise, et l’on re-découvre la joie de tout risquer sur un alexandrin… »
Ce qu’on appelle, dans l’écriture d’un scénario, le twist final est devenu la spécialité d’un certain cinéma d’épouvante, notamment dans l’œuvre de réalisateurs comme Night Shyamalan (qui en fait usage dans presque tous ses films) ou Alejandro
Dans « A moy que chault », Xavier Eman tient le feuilleton de notre apocalypse molle. À Paris, son héros, Frédéric slalome entre une manifestation de vegans blafards et un rassemblement du comité « Vérité pour Tralala ».
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