Manquait un hommage dans les « Textes offerts à Alain de Benoist à l’occasion de 80e anniversaire » réunis par Guillaume Travers : celui d’Olivier François. Le voici, publié sur le site, l’hommage à un hommage, par celui qui signe l’éditorial culturel dans chaque livraison d’« Éléments ». Lui qui est un des piliers de cette « confrérie secrète, polycentrique, labyrinthique » que sont les amis d’Alain de Benoist.
Pour ce nouveau numéro de l’émission proposée par TV Libertés, la fine fleur de la rédaction d’Éléments, réunie autour d’Olivier François, présente et commente le nouveau numéro de la revue, actuellement en kiosque. Au programme, les 80 ans d’Alain de Benoist, notamment célébrés par Michel Onfray, la nouvelle charge de Jean-Claude Michéa contre le capitalisme mortifère et la descente en flammes de Thomas Piketty par Jérôme Sainte-Marie. Un programme aussi dense que roboratif.
Avez-vous remarqué combien les émeutes ont cessé aussi subitement qu’elles avaient commencé ? Comme on s’en doute, les médias centraux se sont empressés de passer à une autre « séquence » médiatique, selon le jargon en vigueur. Circulez, y’a rien à voir ! Jean Baudrillard se demandait si la guerre du Golfe avait eu lieu, la première, celle des années 1990-1991. La question se pose pour les émeutes. Qui en parle aujourd’hui ? Autour d’Olivier François, la rédaction d’« Éléments » rouvre le débat sur TV Libertés. Avec François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart
Il y a un malentendu sur l’œuvre d’art total à laquelle aspirait Wagner. Plus qu’une synthèse des arts, c’est une tentative socialiste, ce qu’était le compositeur (on l’oublie trop souvent), qui vise l’union du peuple créateur et de l’artiste. Bon pied, bon œil et plus encore bonne oreille, Georges Liébert – éditeur, essayiste, traducteur et producteur de radio – confie à Olivier François sa passion pour Wagner et retrace l’aventure que fut le wagnérisme français. Un film de Christophe Lafosse.
Les trans sont à la mode. À la limite, ils la font. Comment cette idéologie a-t-elle pris le contrôle des esprits ? C’est ce à quoi s’est attelé notre magazine — en kiosques et sur TV Libertés. Avec Olivier François et ses acolytes : François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, Daoud Boughezala et Rodolphe Cart.
À l’occasion de la sortie du nouveau numéro, la rédaction d’Éléments se plonge dans le conflit Russie-Ukraine. Pourquoi les pays occidentaux ne parviennent-ils pas à fournir suffisamment d’armes et de munitions à l’Ukraine ? D’abord et avant tout, parce qu’une économie de guerre requiert une industrie de guerre et que l’industrie est le parent pauvre des politiques économiques occidentales.
Il y a deux ans, le 11 février 2021, s’éteignait Pierre-Guillaume de Roux, homme-livre s’il en fut, habité par eux, au point de ne pas seulement les lire, mais de les éditer. Dans un film, « Présences de Pierre-Guillaume de Roux », Olivier François, Michel Lambert, Olivier Germain-Thomas, Philippe Barthelet et d’autres rendent un hommage vibrant autant à l’homme qu’à l’œuvre éditoriale.
Léon Daudet (1867-1942), c’est une force de la nature – un géant rabelaisien à l’appétit tout-puissant : polémiste et tribun, mémorialiste et historien, romancier et essayiste. Son nom reste associé à l’école d’Action française et à une fidélité indéfectible à Charles Maurras, mais son œuvre est un continent à part. Notre collaborateur Olivier François la présente dans le cadre des « Jeudis de l’Iliade », à la Nouvelle Librairie.
« Le plus d’Éléments » est de retour à l’occasion de la sortie du nouveau numéro d’ »Éléments » en kiosques. À la manœuvre, Olivier François, avec François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, et Rodolphe Cart. Et au menu du jour : le piège, dit piège de Thucydide, dans lequel une puissance dominante – les États-Unis – se prépare à entrer en guerre contre une puissance émergente – la Chine – qui menace de la déstabiliser. Au programme également : un panorama de l’extrême gauche, les « Réflexions sur la violence » de Georges Sorel, le 200e numéro d’Éléments, les 40 ans de la mort de Louis de Funès…
36 youtubeurs, 500 millions de vues cumulées… Jamais la dissidence n’avait touché un tel public. Comment expliquer ce phénomène ? Qui sont ces influenceurs vedettes ? La rédaction d’Éléments a mené l’enquête. Avec Olivier François, François Bousquet, Patrick Lusinchi, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart. Une plongée dans l’univers des nouvelles dissidences.
Agnès Pannier-Runacher n’est pas seulement ministre de la Transition énergétique, c’est un robot, une bonne copie managériale, calibrée selon les normes internationales. Au risque de certains conflits d’intérêts avec le numéro 2 du pétrole en France lié à sa famille, comme l’a révélé le média Disclose. La transition énergétique a du plomb dans l’aile.
Jusqu’au 19 novembre, Marc-Édouard Nabe expose à la librairie Pierre-Adrien Yvinec, à quelques pas de L’École Militaire (Paris VIIe), une série de portraits peints ou dessinés d’écrivains « de droite ». Une exposition roborative à voir, et à conseiller mêmes aux antinabiens les plus forcenés !
