« Éditeur du diable » ou « des extrêmes » selon les journalistes du Monde et du Point, Pierre-Guillaume de Roux occupe assurément une place singulière au sein de l’édition française.
Il rejette en effet les logiques mercantiles comme les sectarismes idéologiques, et seul lui importe le talent quand il s’agit de publier et de défendre un auteur . La chose est assez rare aujourd’hui pour être salué. Dans cet entretien radiophonique avec notre collaborateur Olivier François, Pierre-Guillaume de Roux évoque ses admiration littéraires, sa conception exigeante du métier d’éditeur, et sa dette envers d’illustres « collègues » tels Vladimir Dimitrijevic, Roland Laudenbach, Christian Bourgois ou son père Dominique de Roux.