Journaliste et essayiste italien, Adriano Scianca a récemment publié aux éditions de la Nouvelle Librairie, en collaboration avec l’Institut Iliade, un remarquable petit livre, intitulé « Europe versus Occident. La fin d’une ambiguïté ». Loin de se borner à rappeler les différences originelles et profondes qui séparent ces deux entités, l’auteur nous invite à repenser cette dichotomie à nouveaux frais, à l’occasion notamment des récents bouleversements géopolitiques, afin de ne pas verser dans des postures manichéennes, simplistes et, au final, incapacitantes.
Une fois l’ouragan judiciaire passé, Marine Le Pen est désormais tenue d’affiner sa stratégie. Celle de la rupture, tenue au procès, n’a pas été couronnée des fruits escomptés. Tout nier, quitte à retourner l’accusation contre des juges suspects de rendre une justice politique, voilà qui fleurait bon son Jacques Vergès. Ça ne manquait pas d’allure, à ce menu détail près: cet avocat a précisément perdu tous ses procès de rupture. Certes, il lui reste des recours. Mais il lui faudra attendre l’été 2026 pour être fixée. C’est long, très long ; trop long. D’où l’hypothèse qu’elle avait déjà évoquée : celle d’une candidature de Jordan Bardella.
Pour nos « élites » et nos médias, c’est un fait entendu : la Russie menace désormais l’Europe. Est-ce une réalité, un fantasme, ou encore une stratégie visant à promouvoir un projet fédéraliste européen bien mal portant et largement rejeté jusque-là par les populations du vieux continent ? Gilles Carasso, ancien directeur des Instituts français de Pologne et de Géorgie, nous plonge dans les arcanes psycho-politiques de cette nouvelle « menace russe » agitée frénétiquement pas la quasi-intégralité de l’échiquier politique.
Pour nos « élites » et nos médias, c’est un fait entendu : la Russie menace désormais l’Europe. Est-ce une réalité, un fantasme, ou encore une stratégie visant à promouvoir un projet fédéraliste européen bien mal portant et largement rejeté jusque-là par les populations du vieux continent ? Gilles Carasso, ancien directeur des Instituts français de Pologne et de Géorgie, nous plonge dans les arcanes psycho-politiques de cette nouvelle « menace russe » agitée frénétiquement pas la quasi-intégralité de l’échiquier politique.
À l’occasion de la réédition de l’ouvrage d’Edouard Berth, « Guerre des États ou guerre des classes », aux éditions Krisis, nous avons interrogé Alain de Benoist, qui en a rédigé la préface, sur cette figure iconoclaste et inclassable du « socialisme française », restant encore largement méconnue du grand public malgré une œuvre majeure pour comprendre l’entre deux-guerres.
François Bayrou semble faire partie des meubles de la Ve République. On est habitué à le voir apparaître, disparaître et réapparaître au gré des alternances politiques et des changements de gouvernements, sans pour autant jamais atteindre son but ultime, son Graal : la présidence de la République. Pour sa chronique politique hebdomadaire, Nicolas Gauthier se penche sur le cas de l’ambitieux béarnais.
A l’occasion du douzième colloque de l’Institut Iliade, organisé samedi dernier, avec un nouveau grand succès d’affluence, à la Maison de la Chimie à Paris, a été annoncé la naissance de « l’Institut Eneide », centre d’études italien pour la longue mémoire européenne.
Découvrez nos formules d’abonnement
• 2 ans • 12 N° • 79€
• 1 an • 6 N° • 42€
• Durée libre • 6,90€ /2 mois
• Soutien • 12 N° •150€