À l’occasion de cette période estivale qui pousse, malgré le contexte général, à un peu de légèreté, nous lançons une série d’entrevues afin de vous faire mieux connaître les différents membres – anciens et nouveaux – de la rédaction de notre revue. Entre parcours intellectuel, inclinations artistiques, goûts culinaires et petites marottes, vous saurez tout sur ceux qui composent la famille d’« Éléments ». Aujourd’hui c’est Jean Montalte qui passe à la question.
Le conflit israélo-palestinien a au moins le mérite de révéler cette ambiguïté : d’un côté, les islamo-gauchistes, pour lesquels le peuple gazaoui est devenu incarnation indépassable de tous les colonisés de la Terre ; de l’autre, des occidentalistes estimant que le salut de la civilisation repose sur l’axe israélo-américain.
À l’occasion de cette période estivale qui pousse, malgré le contexte général, à un peu de légèreté, nous lançons une série d’entrevues afin de vous faire mieux connaître les différents membres – anciens et nouveaux – de la rédaction de notre revue. Entre parcours intellectuel, inclinations artistiques, goûts culinaires et petites marottes, vous saurez tout sur ceux qui composent la famille d’« Éléments ». Premier à passer sur le gril : Daoud Boughezala
Dans cet entretien accordé à nos confrères du magazine « Monde et Vie », Alain de Benoist revisite Jean-Jacques Rousseau, souvent réduit à la figure de philosophe des Lumières. Loin d’être un progressiste, Rousseau se révèle un critique acerbe de la modernité, prônant une religion civile et un patriotisme vertueux face à l’universalisme et au excès du rationalisme.
Trois ans et demi après l’entrée des troupes russes en Ukraine, Alain de Benoist dénonce les illusions d’une Europe désormais transformée en théâtre de guerre, loin de son prétendu idéal de paix, et analyse les dérives morales et idéologiques qui ont paralysé toute tentative de médiation, plongeant le continent dans une crise existentielle.
Dans cet article à contre-courant, Frédéric Saint Clair convoque Athéna, déesse grecque de la guerre intelligente, pour penser les conflits du XXIe siècle à rebours du prêt-à-penser moral occidental. De l’Ukraine à Gaza, de l’Iran à Israël, il démonte l’illusion humanitaire et celle du droit international, pour réaffirmer la centralité de la puissance dans les relations internationales. Face aux discours dépolitisés, Athéna ricanerait : la guerre n’a jamais cessé d’être le prolongement de la politique. C’est vrai plus encore à l’heure des grands blocs civilisationnels. Merci au site « Première Nouvelle » où cette analyse a d’abord été publiée.
Il y a un moment que les Insoumis avaient du mou dans la corde à nœuds et que ça branlait sévèrement du manche. Mais là, c’est le feu d’artifice, comme si François Pignon, le héros de L’Emmerdeur et du Dîner de cons, s’était installé aux commandes. D’où cette tragicomédie en trois actes.
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